

Nicolas DAUTRICOURT
«
Prix Georges Enesco de la SACEM », et « Révélation Classique au Midem de Cannes »,
Nicolas Dautricourt est sans conteste l’un des violonistes français les plus brillants et les plus
attachants de sa génération
».
Invité en février 2016 à se produire en soliste dans le cadre des 23ème Victoires de la Musique
Classique, membre de la prestigieuse Chamber Music Society of Lincoln Center de New
York, il se produit sur les plus grandes scènes internationales (Washington Kennedy Center,
New York Alice Tully Hall, London Wigmore Hall, Moscow Tchaikovsky Hall, Téatro National
de Belèm, Copenhagen Concert Hall, Boston Gardner Museum, Ongakudo Hall Kanazawa,
Sendai City Hall…), françaises (Salle Pleyel, Théâtre des Champs-Élysées, Cité de la Musique,
Musée d’Orsay, Arsenal de Metz, Opéra du Rhin, Grand Théâtre de Provence…), et est l’invité
de nombreux orchestres, le Royal Philharmonic Orchestra, l’Orchestre National de France,
le Detroit Symphony, Sinfonia Varsovia, l’Orchestre Philharmonique de Liège, l’Orchestre
Symphonique du Québec, l’Orchestre du Capitole de Toulouse, Mexico Philharmonic, Belgrade
Philharmonic, Kiev Philharmonic, NHK Chamber Orchestra, Kanazawa Ensemble, Scala
di Milano Chamber Orchestra, Philharmonie de Lorraine, Orchestre des Pays de la Loire,
Orchestre Philharmonique de Nice, Orchestre Poitou-Charentes, Orchestre d’Auvergne, sous
la direction de Leonard Slatkin, Paavo Järvi, Fabien Gabel,Tugan Sokhiev, François-Xavier Roth,
Eivind Gullberg Jensen, Michael Francis, Kazuki Yamada, Yuri Bashmet, Arie van Beek, Dennis
Russell Davies, Jean-Jacques Kantorow…
Egalement l’invité de prestigieux festivals, classiques et jazz, tels que le Festival Enesco de
Bucarest, Lockenhaus Kammermusikfest,
Music@Menlo, Ravinia, Pärnu, Davos, Sintra,
Printemps des Arts de Monte-Carlo, Rencontres Musicales d’Evian, Folles Journées de
Nantes et de Tokyo, Jazz à Vienne, Jazz in Marciac, Sud-Tyroler Jazz Festival, Jazz San Javier,
Copenhagen Jazz Festival, and the European Jazz Festival à Athènes, lauréat des concours
internationaux Wieniawski, Lipizer et Belgrade, il joue un magnifique instrument d’Antonio
Stradivarius datant de 1713, le « Château Fombrauge », généreusement mis à sa disposition par
Bernard Magrez.
51