

« La dernière
Sonate
est très étonnante. C’est
celle que les Français appellent la
Sonate de
la trompette
pour le petit motif de fanfare
qui l’introduit. Mozart parvient à écrire cette
musique légère et extrêmement joyeuse alors
qu’il est déjà très affaibli physiquement et
qu’il doit solliciter l’aide financière d’hommes
d’affaires pour subvenir à ses besoins. Pourtant
cette musique est un véritable enchantement
tout en étant très exigeante techniquement
et l’Adagio est une des pages les plus parfaites
qu’il ait écrites. »
16 MOZART_Sonates pour piano K331, 570 & 576