Sélectionner un cadeau

Newsletter

Mon compte

Cart (1)
Chanson bohème

1 x 15,00 €

Total:

15,00 €
Commander Voir le panier
logo main logo dark logo light
  • Accueil
  • Actualités
  • Artistes
  • Le label
  • Catalogue
  • Contact
  • Français
    • Anglais
    • Allemand

Search

  • Accueil
  • Actualités
  • Artistes
  • Le label
  • Catalogue
  • Contact
logo main logo darklogo light
Cart (1)
Chanson bohème

1 x 15,00 €

Total:

15,00 €
Commander Voir le panier
Voir le panier «Chanson bohème» a été ajouté à votre panier.
1 CD | LDV125 | durée totale : 1h 14min 41 | date de sortie : 06/09/2024

FAURÉ // Nocturnes

Théo Fouchenneret,

15,00 €

Depuis l’enfance, la musique de Gabriel Fauré accompagne le pianiste Théo Fouchenneret, son langage lui est naturel. Ce premier album qu’il lui consacre est une invitation au voyage dans l’univers onirique et raffiné de ses Nocturnes, de la séduisante suavité des premiers à l’épure des sombres derniers. Une odyssée en treize stations poétiques dans les profondeurs fauréennes, au coeur d’un for intérieur, le fort bien gardé de cette musique de l’intime, unique, pure de toute influence, dont le musicien nous révèle l’indicible et troublante beauté.

- +
SKU: LDV 125
Categories:Centenaire Fauré, Offre "nos jeunes ont du talent", Théo Fouchenneret
Share:
Livret
  • Description
  • Liste des pistes
  • Biographie
  • Vidéo

Description

Deux compositeurs ont donné leurs lettres de noblesse au nocturne pour piano : Frédéric Chopin, et un demi-siècle plus tard, Gabriel Fauré. La forme inventée par John Field évoque l’atmosphère de la nuit prisée des romantiques. Lorsque l’auteur de Clair de lune et Diane, Séléné l’adopte, s’éloigne cette référence qui laisse alors cours à un imaginaire poétique vierge de toute évocation. Le nocturne fauréen ne s’expose pas pour autant au grand jour, mais répand la lueur de son troublant onirisme. Des premiers au charme ineffable, aux plus tardifs, sombres et dépouillés, souvent traversés de passion, les Nocturnes n’ont de finalité que le « vaste et tendre apaisement », telle la vespérale quiétude. Avec Théo Fouchenneret, nous entrons dans la profondeur et le raffinement de leur univers.

  • Nocturne n°1 en Mi bémol mineur, op.33/1 6’21
  • Nocturne n°2 en Si majeur, op.33/2 5’13
  • Nocturne n°3 en La bémol majeur, op.33/3 5’01
  • Nocturne n°4 en Mi bémol majeur, op.36 6’46
  • Nocturne n°5 en Si bémol majeur, op.37 7’59
  • Nocturne n°6 en Ré bémol majeur, op.63 7’30
  • Nocturne n°7 en Ut dièse mineur, op.74 7’55
  • Nocturne n°8 en Ré bémol majeur, op.84/8 2’18
  • Nocturne n°9 en Si mineur, op.97 3’35
  • Nocturne n°10 en Mi mineur, op.99 4’58
  • Nocturne n°11 en Fa dièse mineur, op.104/1 4’04
  • Nocturne n°12 en Mi mineur, op.107 5’26
  • Nocturne n°13 en Si mineur, op.119 6’56

La musique est le langage de Théo Fouchenneret, celui qui lui vient spontanément lorsqu’il s’agit de parler de lui-même ou de la vie. Son frère Pierre dit d’ailleurs de lui qu’il est un oiseau. Il arrive à ce musicien d’être silencieux à ses heures, de quitter un moment son piano. Non pas que son esprit soit alors occupé par telle contingence matérielle, telle quelconque pensée : la musique l’habite, continue à vivre en lui, prête à jaillir dès qu’il revient au clavier, épanouie, nourrie des bonnes choses de la vie.
Avec Pierre, violoniste de neuf ans son aîné, nait très tôt une complicité : les deux enfants s’entendent pour introduire le « classique » dans l’univers familial qui vibre aux rythmes des musiques actuelles et du jazz. Après des débuts au violon, Théo, admiratif du talent de son frère, ne vise qu’un objectif : jouer avec lui, et pour cela quoi de mieux qu’apprendre le piano ? De leurs tout premiers duos naît sa passion pour la musique de Fauré. Quelques années plus tard il remporte à Pamiers le Premier Prix au Concours International Gabriel Fauré.
Il tient son cap, depuis ses débuts au Conservatoire de Nice avec son professeur Christine Gastaud. Exigeante et passionnée, elle l’arme de solides principes qu’il garde toujours à l’esprit aujourd’hui : chérir chaque note, quitter l’une à regret pour aller à la suivante, raconter des histoires, nourrir la flamme… Une année avec Hortense Cartier-Bresson lui ouvre les portes du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris d’où très jeune il sort diplômé. Puis il va à l’essentiel. Les concours, pas question de les collectionner. Deux suffiront, dûment choisis : le Concours International de Musique de Chambre de Lyon et la même année, le Concours de Genève. Deux Premiers Prix assortis de cinq Prix Spéciaux en musique de chambre : Théo peut à présent se consacrer à autre chose.
Distingué l’année suivante aux Victoires de la musique classique, il multiplie les récitals et un projet voit le jour : un premier disque à La Dolce Volta rassemble les Sonates « Waldstein » et « Hammerklavier » de Beethoven. Si pour lui ces monuments musicaux ne doivent pas attendre le nombre des années, il faut aussi parfois savoir donner le temps à la musique. Sa soif de répertoire doit composer avec son exigence, celle d’un travail toujours abouti. Les Nocturnes de Fauré à leur tour arrivent au disque, éclos d’une longue couvée. Théo regarde l’avenir : Mendelssohn, et puis plus tard Schubert… Un jour peut-être gravera-t-il Bach dont il admire l’oeuvre pour orgue : remonter le temps et arriver à la source de la musique qu’il fréquente aujourd’hui pour, dans le sillon tracé par Murray Perahia et András Schiff, trouver l’évidence du discours, du son, la pureté de l’émotion dans l’expressivité sans affect du contrepoint.
Depuis ses premières expériences, la musique de chambre, promesse de riches rencontres et de projets multiples, tient une place constante dans sa vie d’artiste. De Beethoven à Stravinsky, du duo au quintette, il en possède tant, de répertoire ! C’est à Robert Schumann qu’il consacre une première intégrale commencée avec son frère. Béla Bartók fait aussi partie de son panthéon : Hortense Cartier-Bresson lui a transmis sa fascination pour cette musique, la variété de ses émotions, la force de son architecture. Au concert, sa Sonate pour deux pianos et percussions est toujours une aventure exaltante. L’enregistrer ? « Un rêve ! Mais il faut être patient avec cette oeuvre… » Pour Théo Fouchenneret, il est des oeuvres comme des meilleurs vins de garde.

Vous aimerez peut-être aussi…

  • Ajouter au panier

    BEETHOVEN // Sonates Waldstein, Hammerklavier

    15,00 €

Produits similaires

  • Ajouter au panier

    FAURÉ // Barcarolles op.19

    15,00 €
  • Ajouter au panier

    ABRACADABRA

    20,00 €
  • Ajouter au panier

    FAURÉ // L’œuvre pour violoncelle et piano

    15,00 €
  • Ajouter au panier

    ENGLISH DELIGHT

    15,00 €

A propos de La Dolce Volta

Le luxe est notre ADN

Les actualités

Le Festival La Dolce Volta

NOUS SUIVRE

INFORMATIONS

Contact

Mon compte

Mon compte

Mes commandes

Mes informations personnelles

 

©2023 La Dolce Volta. Tous droits réservés.

a

798 SW 2nd Ave, Miami, FL 33130
1498 Bryant St, San Francisco, CA 94103

makao-fashion@email.com

+456 741 852 33

#MAKAO_FASHION

Follow us:fbtwpi