LDV500-5

Qu’il s’exprime sur la solitude de l’organiste ou sur l’œuvre de celui qu’il a toujours si bien servi, Jean-Sébastian Bach, André Isoir reste constamment un interlocuteur simple et attentif. Une humilité cultivée certainement au contact de son instrument – l’orgue est l’ennemi du vedettariat – mais aussi au fil de ses multiples activités, l’enseignement ou la facture. Rencontre avec un musicien heureux. Entretien avec Jérémie Rousseau et David Sanson, avec l’aimable autorisation de Classica (mars 2000)

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