Cette passion pour les réalisations matérielles s’est également manifestée dans le domaine du son. Dans la seconde étape de son intégrale, à la fin des années 80, il s’investit pleinement dans les prises de son d’Igor Kirkwood et devient très exigeant quant à la position des micros. Ses oreilles infaillibles font merveille. Jusqu’à ce qu’il obtienne « le son de corps et le son de bouche du tuyau », il modifie les emplacements, recherchant le point idéal. Le résultat est éblouissant ! 13 ANDRÉ ISOIR
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