6 ABRACADABRA Se plonger dans l’univers merveilleux des contes invite à déployer des sonorités spécifiques, parfois flamboyantes. Comment décririez vous votre travail sur les couleurs ? J’ai imaginé ce programme il y a plusieurs années et l’ai laissé mûrir, rêvant d’un instrument qui me permettrait de disposer de registres très variés. Le grand Bösendorfer m’est apparu évident dans la mesure où il répond parfaitement à mes désirs en offrant une riche palette de timbres propre à développer un piano orchestral. Lorsque je travaillais ces pièces, j’avais sans cesse à l’esprit de magnifiques sonorités. D’infinies possibilités s’offraient à moi car, en tant que pianiste, on passe toute une vie à essayer d’imiter l’orchestre !
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